Fluna. Le ptit Nouveau qui tente de s'intégrer
Nombre de messages : 6 Age : 31 Date d'inscription : 27/03/2008
| Sujet: Fluna. [ Jument ] Jeu 27 Mar - 23:50 | |
| FLUNA
Nom : Fluna ( SE PRONONCE FLOUNA ) Surnom : Nana XD. Âge : 3 ans et demi. Sexe : Jument
Histoire : Désolée je suis pressée de jouer, je vais utiliser presque la même histoire que un autre personnage, en modifiant quelques détails ^^' « Je serais capable d’abandonner le futur pour revivre chaque moment, chaque sensation, chaque sentiment précédent, avec eux. Je pourrais rembobiner ma vie et la rejouer des milliards de fois en boucle, revivre chaque seconde, chaque minute, chaque heure. Dans l’exception de couper le dernier chapitre. Me Remémorer le passé jusqu’à ce que je connaisse par cœur chacun de nos dialogues, de nos joies ou de nos courtes tristesses. Je n’en n’ai pas profité assez. Je ne me suis jamais réveillée un beau matin en me disante : ‘ J’aime la vie, je suis heureuse de vivre. Il faut que je profite chacun des bons moments passés avec eux, que je chérisse chacun d’eux et que je ne les oublie jamais.’ Je n’aurais jamais cru à une fin possible à cette vie parfaite. Maintenant c’est trop tard, et je regrette. » Ils étaient deux, ils étaient beaux, intelligents, sociables, parfaits, encore jeunes et insouciants. Ils avaient formé un duo inséparable, des amis devenus meilleurs amis à confident, jusqu’à deux amoureux inséparables. Ils se distribuaient tout les jours un amour réciproque, d’une passion indéterminée. Chacun était capable de sacrifier sa vie pour l’autre, de souffrir pour l’autre, et tout cela, réciproquement. Rien ne pouvait les séparer, ils combattaient chaque péripétie de tout les jours, et à chaque fois, ils arrivaient à rester ensembles. Il aimaient tellement la vie, chaque seconde de celle-ci. Ils appréciaient chaque sensation que procurait ce cadeau, et n’hésitaient pas à en profiter chaque seconde de leur existence. Ils aimaient tellement la vie que un jour, ils voulurent la faire partager à d’autres. Il aimaient la vie et ils ont décidé de donner la vie. Le printemps était arrivé et la saison des amours venait tout juste de débuter. Petite jument rouanne : Camellya, Grand étalon gris : Vinalooy. Mise à part pour leurs mensurations et leur physique en général, ils étaient identique, à l’intérieur d’eux même. Sociables, Volontaires, Extravertis, Attentionnés, Affectueux. Après tout, qui se ressemble s’assemble. En soirée de printemps, les deux amoureux se retrouvèrent et Vinalooy saillit sa tendre bien aimée (L). L’été s’était terminé et le ventre de la petite blanche avait déjà augmenté de grosseur , et s’était légèrement ballonné. Chaque après-midi, à 15h00 précise, les deux tourtereaux se retrouvaient - du moins il étaient généralement déjà ensembles - pour s’allonger sur le confortable duvet que créait l’herbe verte de la prairie des pâquerettes. Pourquoi cette prairie en particulier ? Et bien parce que elle était composée de pâquerettes, bien ça ne vous avance pas. Sûrement car vous n’êtes pas informés que les deux inséparables sont de futurs parents très superstitieux XD. Ça ne vous avance toujours pas. Venons au point. Camellya, elle cueillait délicatement une fleur entre ses dents et ils se débrouillaient en duo pour éplucher la fleur, chantonnant : « Pouliche , Poulain , Pouliche, Poulain, Pouliche, Hermaphrodite , Poulain etc … » En début d’automne, le ventre de la Blanchette avait considérablement gonflé et s’était ballonné. Sentant que le moment de mettra bas allait bientôt arriver, les deux superstitieux décidèrent de prendre les mesures nécessaires XD. Avant de s’endormir, Vinalooy, s’occupait de sa jument, en lui massant en profondeur le ventre, croyant adoucir le caractère du nouveau-né de cette façon, stupide, certes XD. Une semaine plus tard, la jument prévint son tendre bien aimé =P, que elle sentait que le moment de mettre bas s’était extrêmement rapproché et que le poulain arriverait sûrement dans la journée. Collé à elle, le futur père qui annonçait être un père ‘ très poule ’ sans aucun doute, allongea Camellya et attendit patiemment. Vers onze heures, la jument mit bas à un poulain. Le score d’ailleurs de l’épluchage des pâquerettes était de 98 pour le poulain et 10 pour la pouliche, enfin un être végétal digne de confiance, pas comme ces impertinents de trèfle à quatre feuilles de …. . Ils le nommèrent Kyle, mais un ne suffisait amplement pas aux deux parents. L’année suivante, ils eurent une petite pouliche rouanne : Fluna. . Une famille parfaite. . A ses 3 ans, la petite jument avait pratiquement atteint un physique de jument adulte. Ses traits s’étaient affinés, ses courbes enjolies et elle avait abandonné les bonnes vieilles joues gonflées pour un visage en toute harmonie. Ce changement de physique et cet héritage de beauté de ses parents n’avait pas échappé à de nombreux prétendants qui avaient remarqué la petite rouanne, pourtant, personne n’avait jamais parlé d’elle auparavant. Un des fils du grand dominant Blake, s’était dangereusement rapproché de la très jeune adulte encore insouciante. Il était d’un gris foncé et possédait une imposante taille, un poitrail musclé, des membres bien taillés, le genre d’étalon imbattable au caractère prétentieux et sûr de lui. Une soirée d’Été, il avait accosté la jument et avait fait un bout de chemin avec elle. Au caractère négligé, loin d’être perfectionniste et légèrement garçon manqué , elle, était plutôt intéressée à traîner avec ses potes que de chercher l’âme sœur =P. Pourtant, lui, Nighting, le grand gris, n’avait d’œil que pour elle. Malheureusement, celui-ci n’était pas un ange, et avait vite remarqué qu’il n’intéressait pas le moins du monde la petite rouanne. Ne comprenant pas pourquoi elle n’était pas obsédée par lui - Chose inhabituelle chez lui XD -. La coinçant dans un cul de sac, il la plaqua contre un mur de pierre froides et commença à la menacer. Un autre étalon , d’à peu près l’âge de Fluna était passé par le cul de sac et entendit les cris de la pauvre victime, coincée entre les griffes de Nighting. « Laisse La ! Vociféra-t-il d’une voix menaçante ». Un ton plutôt hautain , rarement utilisé pour un dialogue avec la famille ‘royale’ du troupeau. Un vagabond de quatre ans contre un fils de prestigieux dominant de six ans. Les deux ennemis s’affrontèrent, mais l’habilité et l’intelligence de L’alezan compensa la puissance du Gris. « Merci, souffla la petite rouanne, encore sous le choc. » Ils s’échangèrent leur identité, et au fil du temps qui passait, Ils avaient formé un duo inséparable, des amis devenus meilleurs amis à confident, jusqu’à deux amoureux inséparables, tout comme ses parents. Mais malheureusement, tout ne fut pas si facile. Une centaine d’hommes avaient été envoyés dans le but de capturer les chevaux pour les débourrer et les envoyer dans un prestigieux Haras du Pays : The Green Pennington. Mais d’où était venue cette idée de capturer des chevaux sauvages au directeur à la tête du haras ? Et bien il se trouvait être dans des problèmes financiers. En effet il avait énormément misé sur un poulain qui avait par la suite été atteint d’une maladie incurable. Un de ses officiers annonça à son supérieur qu’il avait aperçut de très beaux chevaux aux origines arabes qui s’avéraient être plutôt prometteurs. Capturer des chevaux sauvages était devenu hors la loi dans les régions, mais quelques mots de douceur de la part de la femme de Mr.Brown - Le directeur - avaient suffit à convaincre les responsables du quartier. Ils découvrirent donc un somptueux troupeau composé d’environ quelques centaines de chevaux de très bonnes origines. Environ trois cent chevaux gratuitement, cela avait largement compensé les dettes du directeur. Seulement, ne possédant pas un nombre d’écuries suffisantes pour accueillir tout le troupeau, ils envoyèrent les plus instinctivement sauvages à l’abattoir. Ils sont partis, ils et lui : Le Grand Gris. La vie n'avait plus de sens enfermée dans un enclos. Devenue folle, en manque de liberté, un cavalier qui eut de la peine pour la jument convaincu le directeur que cette jument ne rapporterait rien au Haras. Elle s'enfuit, seule, jusqu'a de nouvelles terres. « Je serais capable d’abandonner le futur pour revivre chaque moment, chaque sensation, chaque sentiment précédent, avec eux. Je pourrais rembobiner ma vie et la rejouer des milliards de fois en boucle, revivre chaque seconde, chaque minute, chaque heure. Dans l’exception de couper le dernier chapitre. Me Remémorer le passé jusqu’à ce que je connaisse par cœur chacun de nos dialogues, de nos joies ou de nos courtes tristesses. Je n’en n’ai pas profité assez. Je ne me suis jamais réveillée un beau matin en me disante : ‘ J’aime la vie, je suis heureuse de vivre. Il faut que je profite chacun des bons moments passés avec eux, que je chérisse chacun d’eux et que je ne les oublie jamais.’ Je n’aurais jamais cru à une fin possible à cette vie parfaite. Maintenant c’est trop tard, et je regrette. » Caractère : " Je rêve d'être comme eux. Les autres. Si beaux, si braves, si intelligents, si sociables, une âme généreuse à l'intérieur d'un splendide corps où même l'oeil le plus minutieux ne pourrait détecter le moindre défaut. Je les idolise, j'aimerais tellement être comme eux. Mais je suis incapable de les imiter car je sais que de toute façon, je ne suis pas comme eux, je ne leur ressemblerais jamais. Je les admire, mais pourtant j'ai peur d'eux, de leur présence. " Différente. Voilà comment Fluna se définirait en un seul mot. Il ne faut pas le nier, elle n'est pas comme les autres, et pourtant, elle aimerait tant l'être. Vous l'aurez sûrement compris, elle est mal dans sa peau, ultrasensible, timide. Mais ce n'est même pas de la timidité qui contrôle le corps de la petite alezane, c'est beaucoup plus extrême. Elle est terrorisée par les autres, elle a peur d'eux. Quand une personne s'approche d'elle, elle prend peur, elle panique. Fuir, se cacher est la solution, sa seule issue qu'elle juge efficace. Pourtant elle souffre terriblement de cette solitude excessive, de ce manque d'amour, d'affection. Sa mère était la seule qu'elle pouvait fréquenter. Même devant son frère, elle se sentait mal à l'aise dans un dialogue, comme si elle adressait la parole à un parfait inconnu. Mais maintenant seule, abandonnée, Fluna à perdu tous ses moindres repères et se sent perdue, dans un labyrinthe où la sortie est inexistante, seulement une entrée. Mais y a t-il une explication à cette peur ? Et bien en réalité il y en a plusieurs. A la fin de son enfance, la petite alezane subit un accident qui lui réduit son ouÏe. Du coup, elle entend mal et les bruits les plus lointains sont étouffés. Lorsque elle marche seule, elle est toujours tétanisée par cette peur, qu'un prédateur la piste, et qu'elle ne puisse l'entendre. Qu'elle se fasse attaquer, et dans ces cas là, les blessures seront assurément profondes. En effet, Fluna n'a jamais appris comment se défendre et ignore même les bases, tout ce qui pourrait paraître instinctif chez les autres devient impossible pour elle. En cas d'attaque, elle serait piégée, car non seulement elle ne saurait repousser le prédateur mais elle ne pourrait non plus appeler de l'aide, sachant qu'elle est tétanisée à l'approche de n'importe quel équidé. L'option de crier serait donc supprimée. Piégée. " Je rêve d'être comme eux, mais le rêve n'est pas la réalité. " Physique : EN COURS
Défauts : Qualités : Aime : Aime pas :
PUF : Code règlement : OK Code concept : OK Seras tu actif(ve) ? : Autre ? :
Dernière édition par Fluna. le Ven 28 Mar - 23:21, édité 2 fois | |
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(. Abrasive Alcohol La popularité à un Nom
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| Sujet: Re: Fluna. [ Jument ] Jeu 27 Mar - 23:57 | |
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